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Partenaires institutionnels et mécènes

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www.aube-champagne.com

Pour l'exposition et l'ensemble des manifestations scientifiques, le Département de l’Aube et l’Inrap se sont entourés de partenaires de premier plan :

  • le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF) qui conserve, analyse et restaure le dépôt funéraire du prince de Lavau,
  • le ministère de la Culture qui, à travers sa Direction régionale des affaires culturelles Grand-Est (DRAC) - Service régional de l’archéologie, permet le prêt des objets archéologiques,
  • la ville de Troyes qui a accepté de prêter de très nombreux objets à l'exposition ArkéAube et qui, en 2018, a présenté, en complément, une exposition d’intérêt national sur les Sénons.

D’importants mécènes soutiennent également l’événement : l’Andra, la fondation Agir et la fondation des Pays de France (Crédit Agricole), la société autoroutière APRR.

ArkéAube bénéficie aussi de 2 partenariats média : Archéologia et Le Journal des Arts.

Partenaires institutionnels

C2RMF (Centre de recherche et de restauration des musées de France)

Le Centre de recherche et de restauration des musées de France (C2RMF) est un service à compétence nationale du ministère de la Culture, une structure unique pour la préservation et l’étude du patrimoine culturel public français. Il résulte du rapprochement entre le Laboratoire de recherche des musées de France et le Service de restauration des musées de France en 1999.

Le Centre est constitué de quatre départements : recherche, restauration, conservation préventive et documentation, archives et nouvelles technologies de l’information. Il possède une double mission, la recherche scientifique, notamment la connaissance des matériaux constitutifs des œuvres, et la mise en œuvre de stratégies en conservation et restauration du patrimoine des musées à l’échelle nationale.

L’une et l’autre sont complémentaires.

Le C2RMF constitue et diffuse une documentation sur les matériaux, les techniques et la restauration des collections. Il participe, enfin, au contrôle scientifique et technique de l’État en matière de conservation-restauration des collections.

Les services du C2RMF s’adressent aux 1218 musées labellisés «musées de France» du territoire, mais également à d’autres domaines patrimoniaux, en particulier l’archéologie, à l’échelle nationale mais aussi internationale, notamment par le biais de projets européens. Son rayonnement s’appuie sur sa politique de diffusion et de publication, la revue Technè, l’organisation de nombreux colloques et journées d’études et l’implication de ses équipes dans l’enseignement et la coopération internationale.

Le Centre est installé sur trois sites. Le laboratoire (6500 m2), situé sous le jardin des Tuileries, est doté de nombreux appareils dédiés à l’examen, l’analyse et la datation du patrimoine, dont AGLAÉ, unique accélérateur de particules au monde dédié exclusivement à l’étude du patrimoine. Les ateliers de restauration sont, quant à eux, répartis entre la Petite écurie du roi à Versailles (4500 m2) et le pavillon de Flore au Palais du Louvre (2600 m2).

La richesse et l’originalité du Centre reposent sur la diversité et l’interdisciplinarité. Ainsi, se côtoient, au quotidien près de  140 agents du ministère de la Culture : scientifiques, historiens de l’art, archéologues, mais aussi photographes, radiologues, restaurateurs, techniciens, documentalistes et administratifs, auxquelles s’ajoutent des doctorants et post-doctorants.

L’expertise de ses équipes, la qualité de ses équipements, l’exigence de recherche et d’innovation au sein de chaque département ainsi que sa compétence nationale ont contribué à faire du C2RMF à la fois un partenaire quotidien des musées de France et un acteur reconnu du domaine patrimonial mondial.

www.c2rmf.fr

Ministère de la culture - Direction régionale des affaires culturelles Grand Est (DRAC)

Le patrimoine archéologique : une ressource fragile, publique et non renouvelable

Des centaines de sites archéologiques sont menacés, chaque année, par les opérations d'aménagement du territoire, c'est pourquoi l’État a organisé sa protection, dans une volonté de concilier développement économique et recherche archéologique.

Au niveau régional, c'est la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC), service déconcentré du ministère de la Culture, placé sous l'autorité du Préfet de région, qui veille, via le Service régional de l'archéologie (Pôle Patrimoines) à la protection, à la conservation et à la valorisation du patrimoine archéologique.

Le service mène cinq grandes missions :

  • Sauvegarder

- prescrire des diagnostics (détection) ou des fouilles archéologiques (sauvegarde par l’étude), lorsque des opérations d'aménagement sont susceptibles de détruire des vestiges ;

- surveiller et contrôler la mise en oeuvre des opérations archéologiques par les opérateurs agréés.

  • Etudier

- coordonner l'activité de la recherche dans la région ;

- instruire les autorisations de fouilles programmées, les programmes collectifs de recherche, les prospections au sol et à vue ;

- délivrer les autorisations ponctuelles de sondage.

  • Inventorier

- établir la carte archéologique régionale : un inventaire informatisé, qui rassemble et ordonne les données archéologiques disponibles (67 800 sites enregistrés pour le Grand Est).

  • Conserver

- assurer la conservation de la documentation et du mobilier découverts lors des opérations archéologiques ;

- deux dépôts archéologiques "nouvelle génération", les Centres de conservation et d'études, créés dans le Grand Est : celui d'Alsace - Sélestat - (2016) et de Lorraine - Metz.Scy-Chazelles - (juin 2018).

  • Diffuser et promouvoir la recherche

- assurer la diffusion de la recherche : publications, congrès, séminaires, manifestations... ;

- accompagner la médiatisation auprès du grand public, notamment par le prêt d'objets mobiliers pour les expositions mises en œuvre par les musées.

www.culture.gouv.fr

30 ans de recherche archéologique encadrée par l'État dans l'Aube


200 à 300 hectares aménagés chaque année dans l'Aube sont susceptibles de receler des vestiges.
Trois décennies d'opérations archéologiques préventives dans le département ont profondément renouvelé les connaissances :

- par le large spectre de vestiges mis au jour : du site minier néolithique de Mesnil-Saint-Loup, à la tombe princière de Lavau ;

- par la diversité des sites concernées : des zones urbaines, de Troyes et de son agglomération, aux carrières des grandes plaines alluviales de la Seine et de l’Aube, avec les premiers agriculteurs du Néolithique et les populations des Âges du bronze et du fer ;

- par la superficie des surfaces étudiées : 600 hectares entre Nogent-sur-Seine et Romilly-sur-Seine et une centaine d’occupations humaines révélées, dont les constructions monumentales du 4e millénaire, uniques en Europe ou la série de ponts qui traversaient la Seine, dès la fin de l’Âge du fer.

Ville de Troyes

La Ville de Troyes aux côtés du Département de l’Aube pour cette année archéologique.

Né pendant la Révolution, le musée de Troyes, ouvert en 1833 dans l’ancienne abbaye Saint-Loup, a très tôt accueilli les nombreuses découvertes archéologiques exhumées du territoire de l’Aube et présente aujourd’hui de très riches collections évoquant le long passé de notre territoire, des origines de l’Homme à nos jours, sans négliger l’archéologie du bassin méditerranéen : Égypte et Grèce.

Plusieurs des pièces les plus insignes de ces collections sont prêtées à l’exposition ArkéAube : haches néolithiques du dépôt d’Auxon comme cistes de la tombe celtique d’Estissac. Au-delà de cet apport, la Ville de Troyes et le Département de l’Aube ont signé une convention de partenariat culturel dans le cadre de l'événement ArkéAube. En 2018, le musée des Beaux-arts et d’Archéologie de Troyes a présenté, en collaboration avec les musées de Sens, l’exposition "Les Sénons. Archéologie et histoire d’un peuple gaulois". Près de 500 objets  ont ainsi été présentés simultanément à Troyes et à Sens (Yonne) comme autant de témoignages de la vie de ce peuple celte qui entra dans l’histoire en -390 avant notre ère en pillant Rome.

Un programme d’actions culturelles commun à la ville de Troyes et au Département de l'Aube est proposé à tous les publics. Ainsi, les Journées nationales de l’Archéologie (juin 2018 et juin 2019) sont l’occasion pour les visiteurs de découvrir un village archéologique, tant au musée qu’à l’Hôtel-Dieu-Le-Comte, offrant reconstitution, démonstrations d’artisanats, visites… et d’autres animations dont le fil de conducteur sera ce voyage dans le temps, aux origines des premiers peuples installés dans l’Aube. www.ville-troyes.fr

Le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie rénové : futur écrin du mobilier de la tombe de Lavau, à l'horizon 2022

Dans le cadre du projet de rénovation de son Pôle muséal, la Ville de Troyes prépare l’intégration du Trésor de Lavau, découverte exceptionnelle de l’archéologie française, dans le futur parcours archéologique de son musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. En accord avec la commune de Lavau et l’État, l’ensemble du mobilier de la tombe princière pourra être admiré au sein du musée rénové, à l’horizon 2022.

Mécènes

Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra)

L’Andra, établissement public à caractère industriel et commercial, est placé sous la tutelle des ministères en charge de l’énergie, de la recherche et de l’environnement. L’Agence met son expertise et son savoir-faire au service de l’Etat afin de trouver, mettre en œuvre et garantir des solutions de gestion sûres pour l’ensemble des déchets radioactifs français et ainsi protéger les générations présentes et futures du risque qu’ils présentent.

Pour mener à bien cette mission, l’Andra exploite plusieurs sites en France dont deux centres industriels situés dans le département de l’Aube :

- le Centre de stockage de l’Aube sur les communes de Soulaines-Dhuys, Ville-aux-Bois et Epothémont ;

- le Centre industriel de regroupement, d’entreposage et de stockage sur les communes de Morvilliers et La Chaise.

L’Andra souhaite participer, de façon responsable et durable, au développement des territoires qui accueillent ses installations et dans lesquels vivent ses salariés. Pour cela, elle apporte, au travers de parrainages, un soutien actif à de nombreuses initiatives qui contribuent au dynamisme de la vie locale culturelle, sociale… Dans un souci constant de clarté et de transparence, l’Andra a donc défini une charte des parrainages qui précise les domaines pouvant faire l’objet de subventions.

Partenaire historique des événements culturels organisés par le Conseil départemental de l’Aube, l’Andra a fait le choix de soutenir l’exposition « ArkéAube. Des premiers paysans au prince de Lavau ». Cet évènement de grand intérêt sur le plan culturel et scientifique s’intègre parfaitement à l’un des axes de la charte des parrainages de l’Andra, à savoir la transmission de la mémoire et la sauvegarde du patrimoine.

www.andra.fr

Fondation Agir en Champagne-Bourgogne et fondation des Pays de France (Crédit Agricole)

Banque mutualiste engagée sur son territoire, le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne a créé sa fondation d'entreprise Agir en Champagne-Bourgogne en 2013. La fondation favorise des projets d’intérêt collectif, durables, au profit du développement des départements de l’Aube, de la Côte-d’Or, de la Haute-Marne et de l’Yonne.

Le champ d'action de la fondation est très large puisqu'il couvre les domaines éducatif, socio-culturel, socio-économique, concourant à la mise en valeur du patrimoine artistique et culturel, de l'environnement naturel et des connaissances scientifiques.

C'est naturellement qu'elle a fait le choix de s’engager en faveur de l'événement ArkéAube 2018-2019, après avoir déjà soutenu le Conseil général de l’Aube pour les manifestations  Beau XVIe – chefs-d’œuvre de la sculpture en Champagne en 2009 et Templiers - Une histoire, notre trésor en 2012, et les 900 ans de l’abbaye de Clairvaux en 2015.

Ce projet est également soutenu par la Fondation du Crédit Agricole - Pays de France qui s’engage, avec les Caisses régionales,  auprès de tous ceux qui préservent les monuments, sites naturels, lieux de mémoire ou métiers pour contribuer à la vitalité du tissu économique et social.

Société autoroutière APRR

Le groupe APRR est concessionnaire de 2 323 kilomètres d’autoroutes en France.

3 500 collaborateurs accompagnent au quotidien les déplacements et la sécurité des clients.

APRR, c’est un réseau majeur en Europe qui bénéficie d’une position stratégique entre la France, l’Allemagne, l’Italie et la Suisse et connaît des flux très diversifiés : domicile-travail, commerciaux, touristiques…

Le département de l’Aube en particulier est desservi par l’autoroute A5 qui relie la région parisienne au plateau de Langres.

Dans le cadre de contrats de plan avec l’État et du Plan de relance autoroutier signé en 2015, APRR aura investi plus d’1,2 milliard pour l’extension et la modernisation du réseau autoroutier français, reconnu comme l’un des meilleurs d’Europe.

www.aprr.fr